La nuit, lorsque Morphée desserre son étreinte et que je ne
retrouve pas le sommeil, j’enfile des vêtements chauds, me fais chauffer un thé
et je sors explorer le ciel et ses étoiles.
Le froid m’enveloppe et me grise sans réussir
à pénétrer le délicieux cocon que je me suis confectionnée.
Alors je scrute les différentes
constellations, celles que je pense reconnaitre et celles dont j’ai
oublié le nom.
Et même, si je n’ignore pas qu’à cette
période de l’année je ne la trouverai pas, je sais
qu’elle brille là-haut dans le firmament et qu’elle veille sur moi.
Séverine
GEM À NOUVEAU
Varennes-sur-Seine
Merci Séverine pour ces belles paroles pleines d’ espoir !
RépondreSupprimerMerci severine pour cette jolie poésie
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